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28 juillet 2013
Djanet
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05 juin 2012
L'Histoire du Ksar de Kenadsa (Bechar)
Au VII° siècle de l'hegire , un groupe Merrakchi vint s'installer à Zekkour ,douar sis à proximité de Béchar où vivaientles Ouled Azzi .Au bout de 18 ans , un différent éclata entre les Ouled Azzi et un esclave des Mérakchi nommé Messaoud, les Merrakchi prirent fait et cause pour leur esclave, furent expulsés de Zekkour et vinrent s'installer à Djorf Torba , sur la rive gauche du Guir, dans un ksar qui créèrent et dont on voit encore les ruines aujourd'hui.
Ils ne restèrent que peu de temps en ce lieu trop fréquenté par les moustiques et les hôtes de passages .Ils décidaient alors de regagner Kénadsa Ils trouvèrent là un petit Ksar appartenant aux Beni Hassen qu'ils agrandirent vers l'Ouest .
Les Merrakchi sous la direction de Sidi El-Hadj , développaient la maigre palmeraie existante et construisirent la mosquée dite de SIdi El-HADJ .Ceci se passait dans le courant du VIII° siècle de l'hégire.
10 mars 2012
Le vieux Ksar de Taghit, témoin d'une histoire millénaire
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Construit au XIe siècle, le vieux Ksar de la palmeraie de Taghit
(situé non loin de Bechar) reste, malgré le poids des années, le témoin d'une
histoire plusieurs fois millénaire.
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Les historiens attribuent la construction de cet édifice ancien à au
moins deux Saints de la région, Sid Slimane et Merabet Sid Ahmed, de la tribu
des Amara, tous d'eux venus de l'oued du Sahel et de Séguia El Hamra. Le vieux
Ksar qui domine toujours la cité de Taghit est bâti sur un plateau rocheux
regardant la grande dune à l'Est et trônant sur le flanc droit de l'oued
Zousfana et sa palmeraie, en contrebas. Merouane Taghiti, architecte et guide
des lieux, affirme que sa construction fut l'oeuvre de l'un de ses lointains
aïeux.
Selon ses explications, le village fortifié regroupe quelque 120
maisons, aujourd'hui inhabitées et dont la dernière des 60 familles installées
ici avait quitté les lieux seulement en 1991.
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Si le vieux Ksar continue de défier la patine du temps, c'est à cause
des nombreuses restaurations dont il a fait l'objet et qui le maintiennent dans
son aspect originel grâce à l'utilisation de matériaux d'origine. Les maisons
et les remparts du Ksar sont faits de mottes de terre extraites de l'oued
lesquelles, mélangées à de la paille, forment un matériau résistant aux aléas
de la nature.
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Un historien français présente le village fortifié comme étant
"bâti sur la pointe de l'éperon rocheux qui tombe à pic sur l'Oued
Zousfana et les habitations aux murs de toub croulants y sont groupés dans un
enchevêtrement inextricable".
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Dans les années 1950, selon ce témoin privilégié, l'accès à
l'intérieur des lieux se fait par une porte basse entraînant le visiteur
"dans un dédale de ruelles étroites qui se faufilent entre les maisons,
montant, descendant, se tordant curieusement, changeant brusquement de
direction selon les caprices du sol et la fantaisie des bâtisseurs".
"En maints endroits, la roche affleure formant de larges surfaces polies
et glissantes, où le pied ne doit s'aventurer qu'avec précaution",
décrit-il encore. Aujourd'hui, ce lieu historique est devenu un
"objet" touristique que les touristes ne ratent sous aucun prétexte.
Alentour, sont installées des boutiques proposant des produits de l'artisanat
local.
Un des formateurs encadrant la 5ème université de la Copeam
(Conférence permanente de l'audiovisuel méditerranéen), qui s'est tenue
récemment à Taghit, écrit dans un document à propos du Ksar qu'on y "flâne
avec beaucoup de plaisir dans les ruelles étroites", et qu'on s'y
"plait à imaginer la vie telle qu'elle s'organisait à travers ces ruelles
couvertes, à découvrir ces petites places et les bancs qui parfois jalonnent la
rue résonnent encore de longues palabres des hommes" d'alors.
Les maisons du Ksar, "loin d'être rudimentaires, développaient un
certain confort", dit l'architecte, pour qui les matériaux utilisés pour
bâtir ces maisons assurent chaleur en hiver et fraîcheur en été.
09 mars 2012
La Saoura
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La Saoura Elle constitue une route qui mène vers le Soudan, c’est également dans la Saoura que l’on peut avoir un aperçu complet des différentes cultures des pays qui l’entourent. Sa capitale Bechar occupe une position avantagée surtout si l’on considère sa position géographique et le fait qu’elle se trouve en plein coeur des différentes liaisons qui traversent le désert du Sahara.
Bechar se trouve à proximité du Djebel ou montagne qui porte la même appellation. Si l’on considère ses diverses caractéristiques, il est certain que la ville possède de très sérieuses opportunités de développement. Et l’on ne citera que les nombreux minerais dont regorge Bechar. La palmeraie de Bechar est l’une des plus importante de la Saoura. Et les visiteurs peuvent tout à fait en entreprendre la visite.
Les principales villes de la Saoura gravitant autour de leurs palmeraies
La Saoura est composée par plusieurs petites villes. Ces dernières ont chacune un emplacement stratégique qui font d’elles des cités très fructueuses que l’on se place du point de vue culturel ou traditionnel.
13 décembre 2011
Bou Sâada, La Cité du Bonheur
(...) L’écrivain Paul Eudel relata son équipée personnelle
en 1904, et sa joie d’apercevoir, au bout de la route, « comme le retour à la
vie », Bou-Saâda.
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En l’occurrence, une ville bâtie sur une hauteur, un amphithéâtre, un véritable cirque entouré à sa base par des jardins de palmiers. Un ksar typique sur une belle terrasse, une île de verdure au milieu d’un océan de sable, qui se découpe sur « la croupe des montagnes bleuâtres dont les pieds s’enfoncent dans les sables brûlants du Hodna ».
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L’oued coule à ses pieds dans un lit profondément encaissé entre des berges qui enchantèrent Maupassant : « Le vallon de Bou-Saâda qui amène la rivière aux jardins, est merveilleux comme un paysage de rêve. Il descend plein de dattiers, de figuiers, de grandes plantes magnifiques, entre deux montagnes dont les sommets sont rouges (…) Le fleuve, le long de ce ravin, court et chante (…) ».
C’est là que des dizaines de peintre s’extasièrent également, et en particulier que Charles Dufresne esquissa à l’aquarelle ses impressions éclatantes de la palmeraie.
17 août 2011
Sur la route des Oasis ... Touggourt
Touggourt se trouve au nord du Grand Erg Oriental (région des dunes).
C'est une ville saharienne qui mérite une halte pour découvrir ses vieux ksour, son cimetière avec ses quatre qobbas (coupoles) avec son mausolée des rois qui ont régné dans la région pendant des siècles.
C'est encore à Touggourt qu'on peut admirer l'immense palmeraie qui enchante les visiteurs avec son vert flamboyant et la sérénité qui se dégage de ce paradis sur terre.
16 août 2011
Sur la route des Oasis ... Kenadsa
Kenadsa, la ville de la Zaouia,des Marabouts et des Artistes.
Sur la route de Djorf Torba, Kenadsa est une incontournable escale de la vallée de la Souara qui mérite d'être visitée pour découvrir la ville des mines de charbon et ses authentiques ksour.
Elle était à l'origine, le siège de la zaouïa de la confrérie des Ziani, fondée par Sidi Mohamed Ziane.
Kenadsa dont l'empreinte religieuse est très apparente dans la ville, est fière de compter parmi ses édifices religieux la mosquée El Atik fondée par Ahmed Abderrhmane au XVIIe siècle.
Sur la route des Oasis ... El Oued, "la ville aux mille coupoles"
El-Oued, la ville aux mille coupoles, est une cité hospitalière qui a connu l'affluence d'une population venue du Yémen voilà plus de cinq siècles.
Oued Souf jaillit comme par enchantement au milieu du Grand Erg Oriental et est bercé par une immense mer de sable couleur or.
C'est cette même mer qui encercle des palmiers verdoyants dont les racines s'enfoncent profondément dans le sable pour chercher une eau indispensable à leurs survies.
Oued Souf jaillit comme par enchantement au milieu du Grand Erg Oriental et est bercé par une immense mer de sable couleur or.
C'est cette même mer qui encercle des palmiers verdoyants dont les racines s'enfoncent profondément dans le sable pour chercher une eau indispensable à leurs survies.
14 août 2011
Les Oasis désaltèrent les yeux et le cœur
"Dans l'Oasis il n'y a rien mais tu ne manques de rien !"
C'est une phrase qu'il est coutume de dire dans les oasis du Sahara.
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Un lieu où on pense fraîcheur peut-être...
Ou bien un endroit paisible.
Un lieu refuge...
Nous avons sans doute chacun d'entre nous une idée précise de l'impression retenue par le mot Oasis.
Une oasis s'apparente presque à une île perdue au milieu de l'Océan.
Tout comme une île, on y retrouve une ambiance particulière. Les couleurs et la température sont différentes. Les parfums aussi.
Il s'en dégage une beauté presque irréelle.
Le soleil semble bien plus généreux, lorsqu'on observe les jeux de lumière sur la végétation.
Une mer d'eau entoure une île.
Une mer de sable entoure une oasis.
Une mer d'eau entoure une île.
Une mer de sable entoure une oasis.
Il y a dans les deux cas, de la magie dans la profondeur des tons. L'océan est bleu ou émeraude.
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L’œil retient le velours de cet environnement.
Dans les deux îles, le charme est total. On éprouve un vertige passager. Il n'y a plus qu'à se laisser étreindre par le magnifique paysage.
Une oasis désaltère les yeux et le cœur.
Il suffit de s'y poser un peu de temps,
pour comprendre combien ce lieu peut devenir envoûtant.
La magie opère pour ce qui est d'une île.
Une "Oasis" nous réserve autant de surprises...
Une oasis désigne en premier lieu, une zone dans un désert stérile. Mais pareil phénomène n'a lieu que s'il y a à proximité une source d'eau. Ou lorsqu'une nappe phréatique est proche de la surface du sol. Parfois aussi sur un lit de rivière qui se perd dans le désert.
Cet espace réduit devient alors fertile.
Cet espace réduit devient alors fertile.
L'homme doit s'adapter aux contraintes naturelles de l'aridité.
On peut dès lors comprendre l'association humaine et la zone cultivée. D'où les palmeraies.
Une palmeraie d'oasis devient un espace anthropisé et irrigué. Voilà également pourquoi elle supporte une agriculture classiquement intensive et en polyculture. Elle est une agriculture intégrée qui est menée avec la superposition de trois strates.
Une palmeraie d'oasis devient un espace anthropisé et irrigué. Voilà également pourquoi elle supporte une agriculture classiquement intensive et en polyculture. Elle est une agriculture intégrée qui est menée avec la superposition de trois strates.
- Les palmiers dattiers.
- Les arbres fruitiers.
- Et à l'ombre des plantes basses, légumes et céréales.
A travers le monde, le système oasien nourrit au moins plus de dix millions de personnes. Le système d'irrigation de ces oasis sont très judicieux.
Quelque exemple d'oasis en Algérie : Bou Saada, Ghardaïa, Ouargla, Timimoun, Tuat... pour ne citer que quelques unes.
Timimoun, l'Oasis Rouge
Timimoun est la capitale de la région du Gourara, surnommée la Flamboyante, en bordure du grand erg occidental saharien, oasis rouge couverte de hauts palmiers nourris au goutte à goutte par le ruissellement précis des antiques fogaras.
Timimoun est née d’une rencontre magique : l’affleurement de très anciennes nappes d’eaux souterraines, et la forte pente bordant l’immense plateau du Tadmait à l’extrémité duquel elle est construite, dominant le déferlement des premières dunes de cette immense mer de sable que constitue le grand erg occidental du Sahara...
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Le génie des hommes du désert a ensuite fait fructifier cette situation géologique exceptionnelle : un réseau de captage des eaux souterraines a été conçu, qui les conduit précisément jusqu’au bord du plateau, où une astucieuse répartition en assure le partage équitable et optimal.
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Contre le réchauffement climatique :
le développement durable
C’est dans cet esprit que se développent aujourd’hui des infrastructures hotelières légères, conçues en accord avec les moyens et les besoins de l’Oasis, de manière à accueillir les touristes venus à la découverte de cette région du Gourara dans les meilleures conditions de confort et de sécurité.
Elles viennent compléter le potentiel du vieil hôtel Gourara dessiné et construit par l’architecte Fernand Pouillon, qui se fond dans la Palmeraie tout en offrant sur la vallée sèche et le moutonnement infini du désert une vue à couper le souffle.
Timimoun sera vous recevoir, dans une vieille tradition d’hospitalité et de respect mutuel, des voyageurs désireux de découvrir un mode de vie, un patrimoine, un habitat, des richesses naturelles et humaines à la fois, le tout dans un équilibre subtil entre nature, culture, populations d’origines croisées...
Timimoun sera vous recevoir, dans une vieille tradition d’hospitalité et de respect mutuel, des voyageurs désireux de découvrir un mode de vie, un patrimoine, un habitat, des richesses naturelles et humaines à la fois, le tout dans un équilibre subtil entre nature, culture, populations d’origines croisées...
Elles viennent compléter le potentiel du vieil hôtel Gourara dessiné et construit par l’architecte Fernand Pouillon, qui se fond dans la Palmeraie tout en offrant sur la vallée sèche et le moutonnement infini du désert une vue à couper le souffle.
Timimoun sera vous recevoir, dans une vieille tradition d’hospitalité et de respect mutuel, des voyageurs désireux de découvrir un mode de vie, un patrimoine, un habitat, des richesses naturelles et humaines à la fois, le tout dans un équilibre subtil entre nature, culture, populations d’origines croisées...
Timimoun sera vous recevoir, dans une vieille tradition d’hospitalité et de respect mutuel, des voyageurs désireux de découvrir un mode de vie, un patrimoine, un habitat, des richesses naturelles et humaines à la fois, le tout dans un équilibre subtil entre nature, culture, populations d’origines croisées...
13 août 2011
Biskra . . . L'Eden Algérien
Biskra est connue durant la période romaine sous l’appellation de Vescera signifiant escale ou carrefour d’échanges commerciaux. Puis cette dénomination évolue au gré des périodes et des circonstances en oued el Qadr, en référence à l’actuel oued zarzour, Biskra demeure ce symbole éternel qui la rattache à la région des zibans, signifiant en berbère les oasis.
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Avec le passage des différents peuples et civilisations dans cette région, la ville de Biskra s'est appropriée un style et une allure originale et vivante.
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Biskra est l'une des villes les plus visitées dans la région. Grâce à son patrimoine touristique, ses paysages saints, son climat pure, l'artisanat traditionnel et historique, les nombreux hammam et centres
géothermales anciens, sans oublier la meilleur qualité de ses dattes bien sure.
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Les Hammams - sources géothermales
Le mot hammam est d'origine turque. le hammam, à la différence du sauna, est un bain de chaleur fortement humide, dont la température idéale se situe entre 40° et 50° et dont l'hygrométrie est portée à saturation.
Les magnifiques hammams de Biskra font rêver avec leurres vastes salles carrelées et au décors somptueux relié au oasis.
On trouve à Biskra plusieurs hammams et sources géothermale réputées et connues au niveau national et mondial par leur effets de guérison.
Hammam Salhine a été construit par les romains sur une sources minirale à quelques km de la ville.
Son ancien site existe jusqu'à aujourd'hui. La forme du volcan qui se trouve à proximité de la source attire les visiteur et les curieux toujours.
L'Eden Algérien ! ! !
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